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Si je vois bien pourquoi Snowden met tout en place pour disparaître des radars et conserver ses conversations privées, comme la plupart des gens, ma première réaction a été de me demander : pourquoi me cacher si je n’ai rien à me reprocher ? Question légitime, à laquelle moi seule peut répondre. Car avant de devenir un-e hacker-keuse ultra sophistiqué-e capable de détourner les sites du gouvernement américain, il faut d’abord établir quelles parties de nous nous sommes prêt-es à partager sur internet.
Je suis journaliste : mon ordinateur et mon smartphone peuvent contenir des informations confidentielles.
Je suis dans ma chambre : un hacker peut accéder à la caméra de mon ordinateur (ouvert et allumé) et me filmer en train de me déshabiller.
Je suis au téléphone avec ma mère : la conversation peut être interceptée par n’importe qui capable d’accéder au réseau.
Je prépare une action militante : la conversation peut être interceptée par n’importe qui capable d’accéder au réseau et je peux être localisée avec le GPS de mon téléphone.
Je fais une recherche sur Google sur ISIS : je peux être repérée par des algorithmes et mise sur une liste de surveillance pour des requêtes suspectes.
Les exemples d’atteinte à notre activité sur internet sont nombreux et les technologies ne manquent pas pour nous « hacker ». Il est temps de reprendre le contrôle. Il est surtout temps de comprendre ce qui fait quotidiennement partie de nos vies. C’est pour cela que l’Entonnoir a choisi de traduire et de partager le guide pour une cybersécurité féministe de l’organisation activiste HACK*BLOSSOM, luttant pour la sécurité et l’autonomie des utilisateurs marginalisés des espaces numériques. Vous pourrez ainsi apprendre à vous rendre anonyme sur le web ou encore à chiffrer vos mails et vos fichiers.
Petites recettes personnelles à propos de ma gestion des emails, ce que je mets en place, et les conseils que je pourrais donner...
Certains observateurs sont surpris de voir que j'ai régulièrement zéro mail dans ma boite de réception (inbox).
Moi, je ne comprends pas comment peuvent faire les personnes qui ont 172 mails non lus dans une boite qui comprend 3297 mails les uns à la suite des autres.
La folle évolution du stockage informatique
Capital.fr
10–13 minutesFilms HD, MP3, photos, projets professionnels… Chaque jour, sans même y penser, nous produisons – et donc devons stocker – une masse toujours plus grande de données. Pourtant, l’époque où l’on avait besoin de 12 disquettes pour lancer un logiciel sur un ordinateur Atari n’est pas si lointaine. Au fur et à mesure de l’évolution de nos ordinateurs, puis de nos téléphones, il a fallu imaginer de nouveaux moyens pour compiler et retrouver toutes ces informations. A l’heure du big data, le stockage, d’abord analogique, puis numérique, s’est donc adapté. Selon la loi de Kryder, du nom d’un ingénieur américain, nous pouvons techniquement doubler la capacité de nos disques durs tous les treize mois, tout en en divisant par deux le coût. Toujours plus d’espace, toujours moins cher : en 1981, le coût de stockage d’un mégaoctet (à peine une chanson MP3) était de 700 dollars. En 1994, il passait sous la barre de 1 dollar. En 2013, 1 centime suffisait…
1890 : la carte perforée, une mémoire à 80 trous
Au début du 18ème siècle, le Français Basile Bouchon eut l’idée de percer des rubans de tissu (puis de carton) pour automatiser son métier à tisser. Cent cinquante ans plus tard, Herman Hollerith, employé au United States Census Bureau, déposa le brevet d’une machine pour lire les trous de ces cartes et les transformer en données exploitables, puis l’utilisa en 1890 pour le recensement, qu’il traita en un an, contre dix précédemment. Herman Hollerith, persuadé qu’il venait de faire une découverte essentielle, lança sa propre société (IBM) et inventa la mécanographie, ancêtre de l’informatique.
1928 : 50 octets par centimètre de bande magnétique
La bande magnétique est l’une des plus anciennes méthodes de stockage et elle continue à être utilisée. Mise au point en 1928, elle permettait d’abord d’enregistrer du son et servait dès les années 1930 à capter des concerts, avant que l’image ne fasse son apparition. Rapidement, la bande magnétique fut miniaturisée et enroulée avant d’être intégrée dans des boîtiers : les cassettes, audio ou vidéo. Le format le plus utilisé fut la VHS, sur laquelle on pouvait réenregistrer à volonté, une révolution. Dans les années 1950, ce support fut aussi utilisé dans les premiers disques durs d’ordinateurs. Et s’il semble aujourd’hui en voie de disparition, il continue pourtant de servir, notamment grâce à son exceptionnelle résistance (environ trente ans de durée de vie) et à des capacités de stockage atteignant désormais les 5 téraoctets (soit 5 000 milliards d’octets). Ainsi, en 2011, quand Gmail a supprimé par mégarde des millions de boîtes mail, Google a pu en restaurer toutes les données, en les recherchant sur ces fameuses bandes magnétiques où était toujours enregistrée une copie. Pratique.
1971 : une image sur un disque grand comme une pizza
Alors que les entreprises s’équipaient d’ordinateurs individuels, il leur fallait trouver le moyen d’ajouter de nouveaux logiciels. IBM reprit alors le principe de la bande magnétique qu’il transforma en disque plat et intégra dans un support de la taille d’une petite pizza ! Souple et fragile, ce nouveau support n’était pas pratique à transporter et on ne pouvait y écrire qu’une centaine d’octets, soit un document de quelques pages ou… une image de mauvaise qualité ! Et si le coût était relativement abordable, le lecteur, lui, était hors de prix : quasi celui d’un ordinateur. Au fil des ans, de nouveaux modèles apparurent, avec plus de capacités dans moins d’espace, comme la disquette 5,25 pouces (13 centimètres tout de même). On pouvait y enregistrer 360 ko (un livre) à ses débuts, jusqu’à 1,2 Mo au début des années 1980.
1982 : une disquette de la taille d'une poche de chemise
En 1984, Apple décide d’équiper ses ordinateurs Macintosh avec un lecteur de disquettes 3.5, inventé par Sony. Rapidement, ce format s’impose. Plus solides grâce à leur conditionnement rigide et avec un volet en métal pour protéger la partie magnétique, ces disquettes ont un autre avantage, apprécié des informaticiens : elles tiennent dans une poche de chemise, leurs mensurations ayant été prévues à cet effet. Avec une capacité initiale de 720 ko, la disquette passe rapidement à 1,44 Mo (un morceau MP3 de basse qualité ou une photo en HD en nécessite au moins le double). Surpris par le succès d’Apple, IBM et ses concurrents intègrent à leur tour ce nouveau format, et la disquette devient incontournable, jusqu’à ce qu’elle soit dépassée par de nouveaux formats. En mars 2011, Sony en arrête définitivement la production. Mais avoir conservé un lecteur à la maison peut encore servir : en avril 2014, Cory Arcangel, un fan d’Andy Warhol, a mis la main sur de vieilles disquettes contenant une dizaine d’images de l’artiste, sans doute les plus vieilles «œuvres d’art numérique» connues.
1984 : 80 minutes de musique sur les premiers CD-Rom
Si le CD audio a tué le vinyle en dix ans à peine, le CD-R fera de même avec la disquette. Philips et Sony, les deux leaders du marché musical, ont élaboré ensemble les standards de ce nouveau format. D’abord cantonné à l’enregistrement de bases de données, il se démocratisa dans les années 1990. Avec une capacité de 500 à 700 Mo, il permet d’enregistrer 80 minutes de musique ou une heure de vidéo, même si la qualité n’est pas au rendez-vous. En 1997, un nouveau format voit le jour : le CD-RW, qui permet de réécrire plus de 1 000 fois sur le même disque. Dès les années 2000, les lecteurs CD-R sont remplacés par des lecteurs-graveurs, et le grand public peut alors archiver le contenu de son ordinateur. En parallèle, le DVD (1995) puis le Blu-ray (en 2006, le disque de 50 Go contient 4 à 6 heures de film) permettront d’augmenter la capacité, et donc la qualité du contenu. Sony travaille maintenant sur son descendant, le Blu-Violet-ray, qui pourrait contenir jusqu’à 1 téraoctet (To), soit la totalité des saisons d’une série ou 50 films en HD.
1994 : 70 disquettes compactées dans un seul disque Zip
Au milieu des années 1990, les logiciels étant de plus en plus lourds, les disquettes ne font plus le poids (il en faut une dizaine pour installer un programme et lancer un jeu). Iomega invente alors la disquette Zip, contenant l’équivalent de 70 disquettes classiques (4 albums MP3 ou 10 minutes de vidéo, une première pour le grand public). Elle est aussi deux fois plus rapide que la disquette et moins chère que le CD-R. Mais Iomega se heurte aux constructeurs, qui n’intègrent pas ses lecteurs. Seules quelques entreprises s’équipent alors d’un lecteur externe, avant que le Zip ne tombe dans l’oubli.
2000 : plus de 100 DVD sur les cartes les plus récentes
A la fin des années 1990, téléphones, appareils photo, Caméscope, consoles de jeux ou lecteurs MP3 ont besoin d’espaces de stockage fiables et de petite taille. Rapides et fonctionnant avec peu d’électricité, les cartes mémoire Flash (basées sur la technologie imaginée par Toshiba, qui permet d’enregistrer sans support magnétique) deviennent vite incontournables. Différents formats voient alors le jour, la CompactFlash étant la plus utilisée. Si les premières avaient des capacités de stockage limitées (1 Mo), mais suffisantes pour les appareils photo de l’époque, les nouvelles générations contiennent entre 8 et 16 Go. Certaines montent même jusqu’à 512 Go, soit de quoi sauvegarder l’équivalent de… plus de 100 DVD. Mais il faut y mettre le prix : 1 500 dollars. C’est cher, mais ce n’est rien comparé à ce que c’était. En 1991, 1 Go de mémoire Flash coûtait 45 000 dollars (un iPhone en nécessite 32 Go).
2000 : Deux ans de musique sur une clé USB
Utilisant la technologie Flash, IBM invente un outil qui tient dans la poche : la clé USB. Simple à utiliser, elle est solide et ne se raye pas, contrairement au CD. Début 2000, les premières étaient assez grosses, encore chères et ne contenaient que quelques mégaoctets. En 2007, on pouvait y mettre jusqu’à 16 Go (soit 3 DVD) ; 512 Go début 2013 ; 1 To trois mois plus tard. Mais un tel bijou, sur lequel on peut stocker deux ans d’écoute de morceaux MP3, a un prix : 1 050 euros. Pas très intéressant : un disque dur externe de même capacité (certes plus encombrant et un peu moins rapide) vaut moins de 100 euros. Mais les prix de la mémoire Flash restent élevés, la demande mondiale étant plus forte que la production.
2014 : dans le cloud, 1.000 milliards d'octets pour 7,2 euros
Au début des années 2000, Amazon avait un problème : en dehors des périodes de forte affluence, ses immenses serveurs informatiques étaient sous-utilisés. La solution ? Louer l’espace libre aux particuliers. Le cloud était né. Aujourd’hui tout le monde l’utilise, parfois sans même le savoir. La synchronisation des appareils Apple, les solutions d’entreprises d’IBM ou la possibilité de sauvegarder un document sur son PC et de le récupérer sur sa tablette en sont autant d’exemples. Nous ne stockons plus nos informations sur nos périphériques, mais nous les envoyons par Internet sur des serveurs à distance, afin de pouvoir les récupérer n’importe où. Les possibilités sont immenses : les entreprises peuvent se débarrasser de leurs encombrants et coûteux serveurs, et les particuliers n’ont plus peur que leur disque dur plante.
On n’«achète» plus un logiciel informatique, mais on «loue» un programme, ses options et l’espace nécessaire pour stocker les informations. Les opérateurs se font la guerre et sont prêts à casser les prix. Face à ses concurrents (IBM, Apple, Amazon, ou encore le petit français OVH, l’un des moins chers du marché), Google a frappé fort et propose ainsi 100 Go de stockage à 1,50 euro par mois, ou 1 To à 7,20 euros (il y a seulement quelques mois, c’était le prix à payer pour 200 Go). Cette technologie, que certains n’hésitent pas à comparer à l’arrivée de l’électricité dans les usines, est toutefois dépendante de nos accès Internet : «Avec une connexion ADSL moyenne, il faut compter 100 jours pour envoyer 1 To de données, regrette Arnaud Bertrand, directeur de la division cloud chez Bull. Vivement la fibre !»
Mathias Chaillot
Le bon sens populaire veut que les jeunes sont naturellement à l’aise avec les nouvelles technologies, comme l’informatique. Or, ce n’est plus vraiment le cas depuis des années, mais pourquoi ?
Je suis enseignant en informatique depuis plus de 20 ans et j’ai remarqué une chute dans les compétences en informatique des jeunes. Nous allons voir précisément dans quels domaines ils ont des difficultés avec les ordinateurs et quelles pourraient en être les raisons.
The popularisation of artificial intelligence (AI) has given rise to imaginaries that invite alienation and mystification. At a time when these technologies seem to be consolidating, it is pertinent to map their connections with human activities and more than human territories. What set of extractions, agencies and resources allow us to converse online with a text-generating tool or to obtain images in a matter of seconds?
Voici une série de vidéos (62) consacrée à la distribution Linux Mint 22 intitulée « Pas à pas pour les débutants ».
- Linux Mint 22 - Pas à pas débutant - YouTube
- Pack débutant (partie 1) - Linux Mint 22 - Pas à pas pour débutant sur YouTube en Libre accès.pdf - pCloud
- C'est quoi Mint ?
- Possible pour vous ?
- Télécharger Cinnamon
- Vérifier avec 7Zip
- Créer la clé d'installation
- Créer une clé persistante
- Graver un DVD
- Démarrage rapide
- Edge à Firefox
- Chrome à Firefox
- Exporter thunderbird
- Export carnets d'adresses
- Export Agenda
- Ouvrir le BIOS
- Visite en Français
- Installation
- Démarrage et dualboot
- Veille contrôllée
- Écran de bienvenue
- Timeshift
- Gestionnaire de pilotes
- Gestionnaire de mise à jour
- Pare-feu
- Couleurs du Bureau
- Une mise à jour
- Paramètres du système
- Personnaliser le Bureau
- Une mise à jour du noyau
- La Logithèque
- Flatpack
- Alternativeto
- Paramètres du panneau
- Configuration Liste groupée de fenêtres
- Ajouter des Applets
- Mode d’édition du panneau (1)
- Mode d’édition du panneau (2)
- Réglage du MENU
- Applications préférées
- La corbeille
- Barre d'outils
- Ranger les éléments
- Marque pages
- Panneau latéral
- Menus contextuels
- Imprimante et Scanner
- Informations système
- la suite LibreOffice (une petite erreur à corriger)
- Installer les polices Microsoft sur Linux
- Capture d'écran et Flameshot
- PDF Visionneur de document ou Okular
- La Télévision avec FreetuxTV
- Thunderbird
- Carnets d’adresses
- Agenda
- Paramètres et paramètres des comptes
- Injecter le profil de Firefox de Windows dans Linux
- Sauvegarde des données avec Grsync
- Gparted renommer le disque de sauvegarde
- Vider le cache de Linux avec le Terminal
- Restaurer avec Timeshift
- Démarrage - enlever ou mettre un mot de passe
- Petit bilan et conseils
‼️𝗗𝗲𝘀 𝗮𝗴𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰𝘀 𝘃𝗶𝗰𝘁𝗶𝗺𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝘆𝗯𝗲𝗿𝗮𝘁𝘁𝗮𝗾𝘂𝗲𝘀 𝘀é𝘃è𝗿𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝘀𝗮𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻é𝘀 : une première ? ??
Je me suis penché sur ce jugement de la Cour d'Appel Financière qui a rendu son jugement le 06 février 25.
👉 Deux agents publics : un directeur adjoint des finances (territorial) et un adjoint au payeur départemental (DDFIP), ont été sanctionnés par la Cour des comptes dans une affaire de fraude au virement bancaire. Victimes d’une 𝗰𝘆𝗯𝗲𝗿𝗮𝘁𝘁𝗮𝗾𝘂𝗲 𝗽𝗮𝗿 𝗶𝗻𝗴é𝗻𝗶𝗲𝗿𝗶𝗲 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲, ils ont été manipulés par des fraudeurs se faisant passer pour des créanciers légitimes, entraînant le paiement frauduleux de 791 023 €.
Chacun a écopé d'une amende personnelle de 2 500€.👉 Les faits reprochés : Les agents ont validé des paiements à une société frauduleuse sur la base de courriels et de documents falsifiés.
👉 Les agents sanctionnés ont été condamnés pour manque de vigilance, mais ils sont aussi des victimes indirectes de pirates informatiques, la Cour reconnaît que les documents présentés (factures, attestations) étaient d’une qualité très élevée, rendant leur falsification difficile à détecter.
👉 A noter que la perte pour la collectivité (791 023 €) a été jugée significative par la Cour. Après recherche, elle représente environ 0,089% du budget total du Département de l'Eure, qui s'élève à 887,7 millions d'euros (pour l'année 2024).
📝 Note personnelle : Je suis assez déstabilisé et partagé à la lecture de ce jugement. D'un côté, il faudra bien des électrochocs pour que la risque cyber soit réellement appréhendé dans la fonction publique mais d'un autre côté, sanctionner les agents personnellement via des amendes de 2500€ alors qu'ils endossent déjà une forme de culpabilité de s'être fait piégés par des cybercriminels bien mieux armés qu'eux...
Ce qui me choque enfin c'est que les agents soient laissés seuls, abandonnés par leur employeur comme l'a confirmé le Conseil d'Etat le 29 janvier 2025 : la protection fonctionnelle ne peut leur être accordée. en matière de responsabilité financière de gestionnaires publics.
😢 Dramatique sur ce plan !
Cours de dactylographie en ligne gratuits. Apprentissage interactif, jeux et test de dactylographie.
Des Etats américains et des parents, en Europe comme aux Etats-Unis, s'engagent dans une lutte commune contre les géants du numérique pour que leur responsabilité dans l'addiction des plus jeunes aux écrans et aux réseaux sociaux soit reconnue. Parmi eux, cinq femmes ont choisi de bouleverser leur quotidien. Alexis, Kathleen, Elisabet, Laure et Socheata. Elles ne se connaissent pas mais sont chacune à l'origine d'un mouvement qui voudrait changer le destin des générations futures. Pour réparer les enfants, pour alerter les parents et remuer les pouvoirs publics, elles se battent avec leurs propres armes.
Louis Derrac - Une ressource de culture numérique pour les conseiller·e·s numériques (et les autres)
J’ai eu l’occasion d’en parler à plusieurs reprises dans la newsletter (abonnez-vous) : depuis janvier, je travaille avec la Mednum, la Banque des Territoires et l’ANCT sur une ressource de culture numérique. Conçue en particulier pour les conseiller⋅e⋅s numériques, elle se veut bien sûr utile à toutes les actrices et acteurs de l’éducation en général. Et même plus largement, elle est suffisamment accessible (je l’espère en tout cas) pour être consultée directement par des citoyennes et citoyens curieux.
Voici ce qu'il est possible de mettre en place pour réduire l’impact du numérique sur l’environnement.
L'emplacement de millions de téléphones portables est à vendre. Une enquête de SRF révèle qu'une application sur cinq transmet des données à des tiers.
Le 14 octobre 2025, Windows 10 ne sera plus supporté et cette date correspond aussi à la fin de prise en charge de Microsoft 365 Apps sur ce système.
Petit billet rapide (comme un flux RSS) sur le flux RSS (established since 2002), ce morceau de XML si précieux à l'heure de l'émiettement des réseaux sociaux et de l'infobésité numérique. En 10 ans de blog Patrimoine et numérique il n'en avait encore jamais été question... mais j'en avais parlé sur d'Aïeux et d'Ailleurs en 2008 (voir l'article Flux et reflux (virtuels)).
Un guide pratique compilant ce qui, à mes yeux, peut être utile dans l'exercice de vos fonctions de professeur des écoles. Que vous soyez technophile, technophobe ou entre les deux, les technologies numériques doivent être des outils à votre service et non l'inverse.
Ainsi, je vous propose :
- de faire le point au sujet de votre boite à outils numériques,
- 40 fiches pratiques,
- 70 sites internet à garder sous le coude,
- quelques graines d'alternatives numériques à semer chez vous, si le coeur vous en dit.
Madame vient d'intégrer un nouvel emploi. Au sein de cette structure (une école), l'équipe pédagogique utilise Whatsapp pour leurs échanges, partager les photos et vidéos des activités des enfants. Quand on lui a demandé d'accéder à leur groupe, elle a refusé. L'équipe étant vraiment bien, adieu Whatsapp à l'école à partir d'aujourd'hui !
Mais quand ça ne se passe pas aussi facilement, il est bon de pouvoir présenter quelques arguments. Je me permets donc de reprendre ici cet argumentaire, en espérant que cela puisse aider !
Cette page https://primaire.forge.apps.education.fr/ a pour but de proposer des ressources de la Forge utiles aux enseignants du premier degré.
A talk from the LibreOffice and Open Source Conference 2024, which took place in Luxembourg in October. Presenters: Thorsten Behrens and Lothar K. Becker
More details, with slides: https://events.documentfoundation.org/libreoffice-conference-2024/talk/8TYDBP/
Learn more about LibreOffice, the free and private office suite, made by a worldwide community: https://www.libreoffice.org/